La construction de mon skatepark : 

Moi vivant dans une petite ville en campagne où les loisirs en extérieur étaient déjà limités même avant l’apparition du Covid-19. En 2020, la pandémie arrive et la situation devient encore plus compliquée : les commerces sont fermés, les rassemblements sont interdits et les parcs sont tous fermés. Pour moi, c’est un coup dur, j’ai toujours été obligé de faire du skateboard sur des trottoirs irréguliers ou dans des places publiques. Donc je n’avais plus d’endroit où pratiquer. 

La pandémie a été un moment perturbant pour beaucoup, mais aussi un moment de réflexion et de transformation pour certain. Je me suis ennuyé pendant des jours à trouver une nouvelle pratique pour occuper ses journées. j’habite dans une maison et possède une grange remplit de foins et d’anciens objets. Un jour, Je me pose la question et me demande si ce serait une bonne idée d’aménager ma grange et de créer mon propre skatepark. Malgré la pandémie, personne ne peut m’aider, heureusement que Je suis doué en travaux manuels et je travaille de temps en temps dans mon atelier de menuiserie. 

Sans perdre trop de temps, le lendemain, je commence à faire un plan pour mon skatepark pour savoir où placer les différents modules. Je décide aussi de faire un sol en béton puis des modules en bois que je ferais moi-même. Après des mois de travails et de frustrations, J’ai enfin pu parvenir à réaliser mon propre skatepark. 


Mon Histoire :

J’ai découvert ma passion grâce à ma grand-mère qui m’a offert un skate pendant les vacances d’été. De retour de chez mes grands-parents, je commence à rouler et observer le fonctionnement du skateboard. 

 A ce moment là, J’ai 10 ans et ressens une nouvelle excitation en roulant sur mon skate. Chaque jour, je entraîne avec passion et tente de nouvelles figures. J’ai commencé à faire mes premiers tricks de base comme le Ollie et le shuv-it. Mais plus je tentais de nouvelles figures, plus je me rendais compte de leurs difficultés. J’étais conscient de la complexité, pourtant je continuais de pratiquer. Après de longues tentatives, Je perds progressivement confiance, puis range mon skateboard dans mon garage pour de bon.  

En pensant que je ne pratiquerais le skate à tout jamais, 5 ans plus tard à l’âge de 15 ans, Je suis prié par mon père de tondre le gazon. En arrivant devant mon garage, J’aperçois mon ancien skateboard et décide de m’y remettre. Rapidement, je retrouve mes réflexes, progresse à nouveau et redécouvre le plaisir de skater, qui me passionne toujours autant aujourd’hui.